dimanche 19 novembre 2006

Presentation de mon blog sur la ville d'ermont


J'essaierai de donner mon opinion sur la ville d'ermont et donner la parole aux ermontois.

Ermont est une commune du Val-d'Oise située dans la proche banlieue de Paris. Elle est membre de la communauté d'agglomération Val-et-Forêt.
Elle reçut l'un des premiers lycées mixtes du Val-d'Oise, le lycée mixte d'Ermont (aujourd'hui lycée Van Gogh).

Le nom de la ville provient de l'anthroponyme ou du toponyme gallo-romain Ermedon.
On peut estimer au néolithique la date d'installation des premières populations dans la vallée de Montmorency et sur le site d'Ermont. Un village gallo-romain est établi sur la chaussée romaine de Lutèce à Lillebonne (près du Havre) dite chaussée Jules-César. Il fut détruit à la fin du IIIe siècle lors des grandes invasions germaniques puis rebâti au IVe siècle. Il prospère à l'époque mérovingienne aux VIe siècle et VIIe siècles. L'existence d'Ermedonis est attestée par un acte de l'abbaye de Saint-Denis au IXe siècle, et un sanctuaire chrétien est édifié sur l'emplacement de la nécropole mérovingienne. Le village se nomme Ormont, et enfin Ermont au XIIIe siècle. À cette époque, le hameau de Cernay se développe en parallèle. Plusieurs communautés religieuses s'établissent sur le territoire d'Ermont, d'abord les Templiers au XIIIe siècle, puis l'abbaye Saint-Victor-de-Paris, les Célestins de Rouen et le prieuré du Bois-Saint-Père. Mais la communauté villageoise ne dépasse pas les 40 habitants en 1471. Le village, essentiellement agricole et regroupé autour de son église, prend progressivement de l'importance. Il subit avec toute la vallée de Montmorency les ravages de la grande Jacquerie de 1358, puis les campagnes anglaises de la guerre de Cent ans. Il connaît encore les destructions de la Fronde entre 1648 et 1652. L'activité essentielle du lieu est la viticulture, qui recule dès le XVIIIe siècle devant l'expansion des cultures légumière et arboricole.
Au XIXe siècle, l'expansion du chemin de fer participe au développement de la ville avec la création d'un important nœud ferroviaire sur son territoire. C'est enfin au XXe siècle que se développent les zones pavillonnaires, ainsi qu'une importante croissance démographique qui fait progressivement reculer puis disparaître l'agriculture. Les lotissements s'établissent autour du nœud ferroviaire constitué des quatre gares actuelles (la gare d'Ermont-Eaubonne, de Cernay, d'Ermont-Halte et de Gros Noyer-Saint Prix).